Le paradoxe de l'absurde
L’absurde en sois, reflète principalement une opposition à la logique humaine, à un raisonnement dont les rouages entretiennent une certaine cohérence, étape par étape. Cependant, l’emploie de l’absurde reste néanmoins paradoxale, car toutes créations est en sois légitime et propre à chacun. En effet, c’est pourquoi nous allons traiter la question suivante ; L’absurdité est-elle en soit paradoxale ?
Une idée, une pensée, ou simplement un jugement est qualifié d’absurde car ceux-ci ne sont pas en adéquations avec le sens commun qui est imposé sur l’une de ces composantes. C’est pourquoi, les mœurs de notre société conditionnent nos esprits à appliquer une multitude de jugements prédéfinis sur une base fixe ( en règle général ) vis-à-vis d’une thématique donnée, jugement influencé en fonction du milieu social dans lequel nous évoluons, donnant lieu à l’établissement d’une hiérarchisation du système de pensée en fonction de la catégorie sociale dans laquelle un individu lambda évoluera.
Cela confirme, en effet, qu’une idée n’étant pas en adéquation avec l’un des différents sous ensemble (Catégories sociales) issus du système-primaire, dit société sera bien entendu qualifié d’absurdité, car celui-ci s’opposera à l’avis du surnombre. Sachant que l’union fait la force, et que la prise en compte de nouvelles données entrainerai une potentielle modification de l’environnement, la remise en question et le rejet de l’idée est inexorable, de par un principe universel, la peur de l’inconnu.
La peur de l’inconnu est en soit qualifiable d’inhibition de par la potentielle non-maîtrise de l’environnement ressentis par l’individu sous forme de frayeur. Une remise en question de l’absurde reste pour autant nécessaire. Ce qui est qualifié d’absurde a également pour Co-notation une non-raison d’être, une illégitimité de l’existence. La clef réside là, toute création est tiré d’un processus, qui se traduit donc par un ensemble de