On considère un roman comme classique lorsqu’à sa façon, il réussit à marqué, à séduire, à influencé plusieurs générations de lecteurs et ce sur divers niveaux de leurs vies. 


Un vrai classique, c’est un auteur qui a enrichi l’esprit humain, qui en a réellement augmenté le trésor, qui lui a fait faire un pas de plus; qui a rendu sa pensée, son observation ou son invention, sous une forme n’importe laquelle, mais large et grande, fine et sensée, saine et belle en soi; qui a parlé à tous dans un style à lui et qui se trouve aussi celui de tout le monde, dans un style nouveau sans néologisme, nouveau et antique, aisément contemporain de tous les âges*

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Le parfum de Patrick Süskind en est un parfait exemple. Mais pourquoi?


Le roman contient une histoire unique, frôlant l’humour et touchant l’horreur. Une histoire si bien décrite, si bien écrite qu’on la croirais réelle le temps de 308 pages.
L’auteur, Patrick Süskind, a su user de diverses méthodes afin que son œuvre ai un impact direct et important sur le public. Que se soit par sa narration digne des plus grands auteurs, par l’originalité des personnages et la beauté de l’histoire,
Süskind a démontré avec ce chef d’oeuvre l’importance de son talent ainsi que le génie qui l’habite. 


Le parfum est définitivement l’un des meilleurs livres que j’ai lu dans ma vie. C’est si bien écrit qu’on à l’impression d’y être. Süskind a un don rare d’écriture et sait très bien s’en servir. Il a une excellente technique pour décrire des situations, des objets, des odeurs; si bien que nous nous sentons directement connectés au livre, comme si nous en faisons parti. Son style d’écriture nous fait voir le roman sous plusieurs angles, mais tout en s’assurant que l’interprétation soit la même pour tout ceux et celles qui le lisent. Dès les premières pages du roman, nous avons affaire à une incroyable mise en contexte décrivant à la perfection les conditions de vies en France au cours des années 1700 qu’est la suivante;


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