Le pot au lait de jean de la fontaine
Pour tout commentaire, nous devons respecter ce plan : * Introduction : 1- présenter le texte 2- présenter l’auteur 3- problématique 4-annonce du plan
* I (La Marche du texte)
A Le rythme de la marche.
B
C
* II
A
B
C
* Conclusion
La laitière et le pot au lait la dixième fable du volume VII du deuxième recueil. Le fabuliste, Jean de la Fontaine, poète contemporain de Louis XIV publie en 1678, le récit de la mésaventure d’une jeune laitière un peu trop éprise de sa rêverie, elle verra à quel point le retour à la réalité peut être brutal. Nous verrons dans une première partie comment la marche du texte épouse la marche de la jeune fille. Puis dans un second temps nous étudierons la discrète ironie de cette chronique de cette catastrophe ironique.
Après avoir relevé les imparfaits de ce récit, nous pouvons observer que le premier imparfait « prétendait » suppose que l’action a été déjà engagée. Tout ce passe comme si l’on voyait le personnage de loin. Perette est une simple silhouette qui caractérise le pot porté sur la tête. En la regardant s’approcher, on distingue de plus en plus le détail vestimentaires, le cotillon et les souliers. Les rythmes suivants obéissent à un rythme binaire (v7 à 10), cela épouse le rythme de la marche en traduisant un balancement. Les octosyllabes alternent avec les alexandrins, les vers courts comme les vers longs sont également scindé en deux parties égales, des hémistiches avec une césure bien marquée. Au vers 11, où la césure est moins marquée, qui nous fait sortir qu’elle allonge le pas, sous l’effet de son enthousiasme.
Le texte nous rend sensible au cheminement mental de ce personnage. On glisse insensiblement d’un phénomène d’anticipation bien compréhensible (après avoir eu son lait, Pierrette devra bien « employer » l’argent) à une rêverie qui