Le Premier Paragraphe Commence Par Une Description Pr Cise De L O Est L
« Si, jolie,… » Intensif. Généralisation de la beauté des enfants riche.
Les noms communs : luxe, richesse et innocence insistent sur la condition aisée de l’enfant. Une antithèse avec pauvreté et médiocrité.
L’antithèse est la figure centrale de ce poème.
Pâte : expression métaphorique du moule souligne ici la différence entre les deux mondes.
Pauvre = Mauvaise pâte
Riche = Bonne pâte.
Ligne 10 : description du joujou du riche méliorative : splendide (Hyperbole) verni, doré,… Eloge de la beauté du jouet, de la richesse.
Comparaison entre le jouet et son maître. Les mots des lignes 11 et 12 sont mélioratifs.
Mais le mot « verroteries » montre que ce jouet est très beau mais que c’est du toc.
Pourpre = évêque.
Ce jouet est comme une poupée, pantin car il a une robe pourpre. Verroterie annonce la fascination de l’enfant riche pour le rat vivant de l’enfant pauvre.
Vie riche = monotone, en toc, …
A la fin du 3ème paragraphe nous avons « : » (ligne 14) il ouvre sur la pauvreté qui opère la transition entre la description de l’enfant riche et le pauvre. Mise en valeur de l’enfant pauvre, de ce que regarde le riche.
Chiasme à la ligne 15, symbolise sur le plan rhétorique l’opposition. Sémantique entre l’enfant riche et le pauvre.
Péjoratif : enfant pauvre et son univers, « charbon et les orties » (ligne 14), cela représente la pauvreté et le sauvage, la liberté du pauvre.
La pauvre vit hors des cages, il est libre alors que le riche est surveillé. Il relaie le point de vue de la condition