Le relais
Ensuite, les passagers découvrent une halte :
Et voici tout à coup, silencieuse et verte,
Une vallée humide et de lilas couverte,
Un ruisseau qui murmure entre les peupliers, -
Et la route et le bruit sont bien vite oubliés !
On se couche dans l’herbe et l’on s’écoute vivre,
De l’odeur du foin vert à loisir on s’enivre,
Et sans penser à rien on regarde les cieux…
Il se repose, il oublie le bruit et la route. Il respire l’air libre. Le ruisseau devient un personnage qui murmure. Mais ce moment n’est qu’un court moment du voyage.
Pour conclure, on peut comprendre qu’au XIXe siècle, les voyages étaient longs et que la halte était attendu durant des heures. Le relais était l’endroit le plus agréable du