« Le Revenant» versus «Des pas lourds dans l’escalier»

1178 mots 5 pages
Entre les années 1800 et les années 1900, deux artistes à la plume, nommés Guy de Maupassant et Prosper Mérimée, ont tous les deux été reconnus pour leur œuvre lue encore de nos jours, mais à leur début c’était une ignorance totale. Le ballant que chacun avait à leur début démontrait qu’ils ont tous les deux appris à écrire correctement pour attirer des lecteurs de leurs amis proches soit Victor Hugo pour Mérimée et Balzac pour de Maupassant. Représentant les actions de manière la plus objective possible, les deux auteurs sont cependant dans deux courants littéraires différents qui sont extrêmement rapprochés dans le temps et dans leur genre philosophique. Dans le fantastique, la présence du narrateur est très importante, puisque le rôle de celui-ci est triple. C’est le narrateur qui cherche une explication naturelle aux situations troubles dont il est témoin, c’est lui qui crée la tension en montrant que son inquiétude croît du début à la fin et c’est encore lui qui raconte l’irruption de ce qu’il considère comme inadmissible et ceci décrit dans les extraits intitulés « Le Revenant » et « Des pas lourds dans l’escalier ».

Dans l’extrait « Le Revenant », l’auteur cherche une explication naturelle aux situations troubles. L’endroit reculé et la température viennent appuyer les explications recherchées par l’auteur : « Au-dehors, la tempête acharnée battait la petite maison, et, par un étroit carreau, une sorte de judas placé près de la porte, je voyais soudain tout un fouillis d’arbres bousculés par le vent à la lueur de grands éclairs.» (ligne 34-36). Cela vient prouver que la tension qui règne n’est que superflue puisque c’est la tempête accentue la peur des personnes qui s’attendent à le voir ressortir. De plus, il y avait des personnes témoins au crime ou provoquant le crime qui étaient sur les lieux lors du meurtre qui sont encore là deux ans plus tard : « Le garde, livide, cria : “Il le sent! il le sent! Il était là quand je l’ai tué.”» (Ligne 48-49).

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