« Le Revenant» versus «Des pas lourds dans l’escalier»
Dans l’extrait « Le Revenant », l’auteur cherche une explication naturelle aux situations troubles. L’endroit reculé et la température viennent appuyer les explications recherchées par l’auteur : « Au-dehors, la tempête acharnée battait la petite maison, et, par un étroit carreau, une sorte de judas placé près de la porte, je voyais soudain tout un fouillis d’arbres bousculés par le vent à la lueur de grands éclairs.» (ligne 34-36). Cela vient prouver que la tension qui règne n’est que superflue puisque c’est la tempête accentue la peur des personnes qui s’attendent à le voir ressortir. De plus, il y avait des personnes témoins au crime ou provoquant le crime qui étaient sur les lieux lors du meurtre qui sont encore là deux ans plus tard : « Le garde, livide, cria : “Il le sent! il le sent! Il était là quand je l’ai tué.”» (Ligne 48-49).