Le roman autobiographique René publié en France
Tout d’abord, le premier passage étudié démontre que la nature traduit les mêmes états d’âmes que le héros. D’une part, la nature présente un état de désolation qui s’accorde parfaitement avec le moral déprimée du héros. En effet, la comparaison nous démontre clairement la différence entre les émotions du héros et la nature « Les sons que rendent les passions dans le vide d'un cœur solitaire ressemblent au murmure que les vents et les eaux font entendre dans le silence d'un désert » (l.3-5) qui compare la nature aux états d’âmes du héros. De plus, les participes passés «séchée» (l.13), « dépouillé» (l.13), « écartée» (l.14) qui renforce l'idée d'introspection qui permet aussi de constater que la nature qui se meurt et qu’il est seul face à la nature.
Ensuite, la nature déchaînée s'accorde également avec l'état d'exaltation dans lequel se trouve le héros. Ainsi, la métaphore vient établir deux réalités le vent et la mort «attends que le vent de la mort se lève » (l.8-9) l’analogie vient souligner le caractère brutal et inattendu de la mort. De plus, la présence d’un champ lexical utilisant souvent le même mot ou expression qui se rapporte au déchainement de la nature tels que « les vents» (l.4), «tempêtes » (l.6) , « des vents » (l.7), « le vent » (l.13), «souffle du Nord » (l. 14), «le vent (se lève) » (l.18), « le vents sifflant» (l.21), l’agitation de la nature s’accorde parfaitement avec le même état d’esprit du héros.
En conclusion, on comprend donc que le héros ce sent seul face à sa propre mort et que la mort peut arriver n’importe quand et sans que le héros s’y