Le sacré
Introduction
Le sacré est un comportement, un sentiment, une manifestation. C’est un mot qu’on convoque a partir du moment ou il paraît nécessaire a une explication globale de la religion.
Dès que l’anthropologue investi son terrain religieux, il se pose la question de la nature, du sacré, sa fonction ( a quoi sert il en tant que phénomène, sentiment) et y0as0il la possibilité d’évolution/mutation. C’est quelque chose qu’on utilise pour la compréhension globale. La religion et le sacré en toujours été mise ensemble, parce que la pensée de la religion est celle « la religion est l’administration du sacré » (François HUBERT, collègue de MAUSS) Donc, le sacré est quantifiable. On peut donc l’isoler et le traiter comme un fait. Cette définition est très générale et universelle dans la mesure ou effectivement, on peut pas nier radicalement qu’il existe une religion qui ne soit pas l’administration du sacré. Pourtant, elle ne définie pas ce qu’est la religion. Donc, cette définition dit tout et rien en même temps. Le premier as avoir réagi a cette définition été Pierre BOURDIEU. Pur lui, le sacré créer une sphère qui réuni des faits (des signifiants) qui sont contrôler par des spécialistes, qui définissent l’ordre des choses, en définissant des habitus qui sont fonder sur le pouvoir-savoir assurant des spécialistes de la gestion (c’est a dire, des clergés) de ce sacré (une domination) sur le bout, des non spécialistes. La conséquence de cette définitions est que : le sacré n’est qu’une construction, donc elle existe parce qu’on la créer. Le sacré serait donc au service d’une structure de domination, d’un groupe de spécialistes.
Ces deux définitions exclus complètement la notion de croyance, c’est a dire, une evacuation totale en tant. Dans ces deux pôles de définitions est évacuer la croyance en tant que structure (un fait pouvant donner un sens et pouvant expliquer le système) structurante La croyance sera dans le cm n˚4