Le sort de l'enfance maltraite
La convention internationale des droits de l’enfant (CIDE) a été signé en 1989 par de nombreux Etats afin de renforcer et mieux définir les droits de ces derniers. En effet, trente plus tôt la déclaration de l’enfant s’est avérée inefficace. De ce fait, des organismes non gouvernementale s’attelèrent à dénoncer les dérives dans ce domaine en vue de sensibiliser les pouvoirs publics. Si la société à longtemps ignorer la maltraitance des enfants, désormais le droit international vient de consacrer l’enfant comme sujet de droit.
En 1959 la déclaration des droits de l’enfant fut le premier pas d’une prise de conscience générale quant à la maltraitance des enfants. Force est de constater, que de par le monde celle-ci revêt diverse forme.
En effet, dans un cadre de développement économique, l’organisation internationale du travail a établit un rapport dénombrant plus de 250 millions d’enfants au travail forcé. Pour beaucoup d’enfants ces travaux se déroulent dans des conditions inadmissibles. Outre le fait que le travail forcé constitue un frein au développement de l’individu, pire encore il met la vie de ces derniers en dangers. C’est pourquoi bien que le travail soit noble en soi, l’exploitation du travail des enfants est condamnable.
A contrario, dans une économie de subsistance, on dénombre 1/3 de la population mondiale infantile. Dans ces conditions, la survie de famille ouvrière urbaine ou rurale en dépend et par conséquent l’apport du travail d’enfant est indispensable.
Dans d’autres régions du globe, la misère engendre une recrudescence de la prostitution. Des milliers d’enfants n’ont le choix que de se livrer à l’industrie du tourisme sexuel pour survivre. Fort de ce constat les autorités locales préfèrent se voiler la face et sanctionner quiconque oserait dévoiler cette réalité. Les relations économiques internationales priment sur le sort de ces enfants en souffrance.
Dans les pays où la guerre fait parti du