Le sport de combat
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Le corpus est composé de quatre documents dont une image et trois textes. Le premier document est une photo de Lourdes GROBERT : c’est une affiche pour le festival Travelling de Rennes. Elle représente un catcheur maqué les bras croisés devant un mur. Ensuite, nous avons un texte écrit par Georges VIGARELLO, qui nous raconte différents jeux de la cour qui ont existé au XVI° siècle. Il y avait des simulations de combat qui pouvaient parfois finir de façon dramatique ainsi que des chasses où ils massacraient des bêtes. Le document qui suit est écrit par Roland BARTHES. L’objectif de ce document est de nous expliquer le fonctionnement du catch. Pour finir, le dernier document, Une autre histoire des religions, « les mystiques de combat », traite des sports de combat accès sur les arts martiaux. Ce document nous explique les origines de ce sport et les différences entre le sport « violent » et le sport « doux ». Dans une première partie, nous allons voir les différents types de jeux présents dans les documents et dans une deuxième partie, nous verrons leur fonctionnement ainsi que leur but.Dans les sports de combat, il y a différent types de jeux. Il y a : Les arts martiaux, les jeux à la Cour et le catch.
Les arts martiaux désignent les techniques de combat japonais. Ils regroupent plusieurs techniques qui peuvent être douce comme la gymnastique chinoise ou plus violente, comme la boxe thaïlandaise. Il y a une dimension religieuse dans cette technique de combat où l’adjectif « martial » fait référence au dieu romain de la guerre, Mars. Il existe aussi les jeux à la Cour au XVI° siècle, qui étaient pratiqués par le roi et sa cour et de nature très violente. Ils défiaient d’autres rois lors de batailles, ce qui pouvait vite devenir dramatique. George VIGARELLO nous montre à quel point ces batailles étaient meurtrières comme par exemple avec la mort du duc d’Enghien qui reçut un coffre jeté depuis une fenêtre sur sa tête.