Le théâtre de l’absurde
Le philosophe danois, Søren Kierkegaard (1823-1855) était la première personne qui a utilise le terme « absurde » dans un contexte moderne. Le mot absurde vient du mot latin absurdus et signifie l´opposé de la logique. Influencé par les dadaïstes, surréalistes et théories existentialistes d´Albert Camus (1913-1960) et de Jean-Paul Sartre (1905-1980), le théâtre de l’absurde est apparu dans les années 1950. L´écrivain et critique Martin Esslin a formulé ce terme, « théatre de l´absurde », pour la première fois pour décrire les oeuvres de certains auteurs dramatiques. Quelques représentantes du théâtre de l’absurde sont par exemple : Samuel Beckett (en attendant Godot), Eugene Ionesco (la cantatrice chauve).
Le théâtre de l’absurde est l’opposition du théâtre classique. Parce que le théâtre de l’absurde ne suive pas le chemin de la logique mais crée un monde incompréhensible, irrationel et anonyme. La situation dénuée de signifacation est typique pour ce style théâtrale et aussi souvent la condition de base pour illustrer l´absurdité de l´humanité. Car la pluspart des auteurs du théâtre de l’absurde sont préoccupés par l’absurdité de la condition humaine, le réel et l’irréel.
Dans une sorte très grotesque, particulièrement le temps, le lieu et la communication en générale entre les figures sont abstraits. La scène se déroule souvent dans un climat de catastrophe et l’action est souvent réduite au minimum par conséquent, il n’y a pas de développement. Souvent le lieu où l’action se déroule, n’est pas citer avec précision. (Par example dans En attendant Godot on sait seulement que l’action se déroule dans une lande avec un arbre). En lisant les dialogues difficiles on ne peut pas vraiment comprendre ce que les gens veut dire. Les mots sont claires mais a cause de la déconstruction du langage il n’y a pas de sens et parfois on a