Le rire contre l’erreur, pascal
Tonalité didactique· « il y a » = présentatif· « bien » = adverbe, insistance, accentue l’écart entre rire de la religion et rire de ceux qui la profanent· Thèse de Pascal· Antithèse « rire de la religion » et « rire de ceux qui la profanent »· « ceux qui la profanent » = périphrase qui désigne les jésuites (entre autres), Pascal s’attaque à plusieurs ennemis. Masque la critique.· Adjectif hyperbolique « extravagantes » = accentue la dénonciation des idées défendues par les jésuites· Parallélisme « ce serait une impiété » et « ce serait une autre impiété ». Argumentation structurée. Pascal veut montrer que le manque de respect envers les choses divines est tout aussi grave que le fait de ne pas mépriser le profane.· Antithèse « vérités » …afficher plus de contenu…
Les Jésuites sont des menteurs. · Adjectif mélioratif associé à la moquerie quand elle concerne les erreurs « juste »· « faire connaître » = rôle de Pascal dans cette lettre, fonction didactique, il informe son lecteur sur la pertinence de l’utilisation du rire pour dénoncer les erreurs humaines.· Termine avec des arguments d’autorité = « Pères de l’Eglise », « Ecriture », « des plus grands saints » et de « Dieu même ». Gradation, même Dieu utilise le rire face aux erreurs