Le travail contribue-t-il à unir ou à diviser les hommes ?Le travail renvoi a l’idée d’une organisation sociale. Celui-ci ne se réduit pas qu’au métier ; il peut y avoir des travaux que nous effectuons et qui ne sont pas forcément liée directement à la vie sociale. Par exemple on peu travailler un morceau de musique pour son plaisir, cuisiner… Dans tous les cas, le travail implique une dimension personnelle et plus que personnelle (sociale, familial, collective, associative etc…). Par exemple si …afficher plus de contenu…

Le travail ne serai pas une maladie. Comment penser la réalité du travail en laquelle s’articule à la fois la vie individuelle et la vie collective ? Comment penser le travail traverser par deux lignes de forces contradictoires a partir desquels, lorsque nous travaillons, nous avons a la fois tendance a nous isoler et en même temps notre activité semble participer de la vie de l’ensemble. Dans un premier temps, nous verrons que le travail a une dimension toujours nécessairement sociale si bien que par lui et quel que soit le travail nous avons tendance à nous rapprocher des …afficher plus de contenu…

Si le travail fait s’articuler des compétences différentes et multiples, il fera s’exprimer des compétences tout à fait contraires et peut être même inconciliable. Comment être sur du fait que le travail n’accentue pas les divisions et que ces différences qui s’expriment, ne vont pas dans le sens d’une dissolution de la société ? II/ La désorganisation par le travail ?Qui dit travail dit organisation et à partir de l’idée d’organisation il peut y avoir une forme de hiérarchisation des taches et des compétences (de façon naïve). Hiérarchisation (hieros = sacré) alors la hiérarchie est comme un ordre sacré. Il y a quelque chose qui peut paraitre arbitraire, le contexte du travail ne poserait pas une forme de différenciation arbitraire qui viendrai cautionner