Lecture analytique le mal de rimbaud
Rimbaud est connue pour sa poésie est un auteur français qui appartient au mouvement du symbolisme de la deuxième moité du XIX . Il commence à écrire à l'âge de 16 ans. Il est l'amant de Paul Verlaine et ses écrit vont être influencés par cette rencontre. Verlaine et Rimbaud ont échangés des poèmes, d'où une saison en enfer (1873). Rimbaud était un grand admirateur de Victor Hugo et aimerait écrire comme lui alors qu'il n'a que 17 ans et Hugo lui en a à époque 68.
Ce poème est extrait de l'oeuvre Poésie écrit en 1870, à la fin du second empire pendant la bataille de Sedum. Le titre de l'oeuvre évoque l'appartenance au genre littéraire de la poésie et c'est également un titre subjectif avec une connotation négative et une connotation religieuse qui peut amener à une démarche philosophique. C'est un sonnet composé de 2 quatrains et de 2 tercets, ce poème est donc construit en 2 étapes : la guerre puis ensuite la religion, Rimbaud fait une remise en cause de ces 2 éléments.
On peut se demander comment Rimbaud exprime sont engagement dans ce poème?
I 2 peintures contrastées
A Les points communs
Présence d'êtres puissants : un roi et un dieu
Présence également du rire « raille » et « rit »
Et aussi présence de victimes : le bataillon et les mère ramassées : Il y a une opposition entre les êtres puissants et les victimes : les êtres puissant se moquent des victimes
Présence des sens : la vue : champ lexical des couleurs, l'ouïe : allitération « siffle tout le jour par l'infini », « près du roi qui les raille, croulent les bataillons », « bercement des hosannah s'endort », l'odorat : « l'encens », « tas fumants ».
Le lecteur vit donc les scènes, ces peintures deviennent des hypotyposes : 2 scènes en opposition
B Une peinture violente
Proche de l'écriture de Victor Hugo : épopée avec le champ lexical de la guerre avec une amplification qui fait comme un arrêt sur image.
Allitération : « près du roi qui les raille, croulent les bataillons »