Lecture analytique - rimbaud " rêvée pour l'hiver"
Rimbaud « Rêvé pour l’hiver »
INTRODUCTION
Rimbaud : poète symboliste du 19ème siècle « Rêvée pour l’hiver » : poème onirique, écrit en wagon, lorsque Rimbaud fugua de la maison familiale Métrique du poème : sonnet italien, rimes croisées, alexandrins/ hexasyllabes
PB : Rêve ou réalité ?
Autres idées de plan : I) Un décor enfantin 1.1) Monde idyllique : Wagon 1.2) Monde inquiétant : Extérieur II) vers l’âge adulte 2.1) Scène d’action 2.2) Jeu amoureux
I-) Le décor 1.1) Strophe 1 : Le Wagon
- Retour en enfance : « petit wagon rose », « coussins bleus » -> univers rassurant, un peu kitch avec toutes ces couleurs : rose pour les filles, bleu pour les garçons.
- Idée d’une certaine sensualité : « nid de baisers fous », « coin moelleux » -> confort, protection
( Rêve
1.2) Strophe 2 : L’extérieur
- Angoisse de l’enfance : « Ombres du soirs », « monstruosités hargneuses » « Démons noirs », « loups noirs » ->Extérieur sombre et inquiétant qui ramène a l’image du cauchemar ( Cauchemar : contraste avec la strophe 1
- Rimbaud parle à une femme : « Tu fermeras l’œil »
II-) Jeu amoureux 2.1) Strophe 3 : Baiser animé
- Scène d’action : baiser qui parcourt le cou de la jeune femme : « te courra par le cou » mais le baiser est seul, il n’est pas donner par Rimbaud -> le baiser est « vivant »
- Comparaison du baiser à une araignée : « Un petit baiser comme une folle araignée » -> baiser est maléfique, rapide, frissonnant
2.2) Strophe 4 : Cache-cache
- Jeu amoureux qui consiste à chercher la bête : « Et tu me diras : Cherche ! », « Prendrons du temps à trouver cette bête »
- Jeune femme accepte avances de Rimbaud car elle incline la tête : « En inclinant la tête »
- Poursuivent leurs jeux amoureux car : « La bête voyage beaucoup »
CONCLUSION
Rimbaud