Leibniz. Nouveaux essais
Dans ce texte il traite des connaissances, de l’expérience, des différentes vérités.
Pourquoi ne peut-on pas se baser sur l’expérience pour aboutir à une vérité générale ? Comment connaitre les vérités nécessaires ? Comment faire « ressortir » les idées innées ? Leibniz, dans ce texte issu de la préface des Nouveaux essais sur l’entendement humain prétend qu’il est possible d’avoir deux formes de connaissances, la première qui est l’enchaînement d’images qui frappe l’imagination et la seconde qui identifie la nécessitée qui lie les causes et les effets réels. Il existe aussi cependant entre les monades des degrés de perception. Leibniz distingue les monades douées de perception et d’appétition, mais non de mémoire, comme sont les plantes ; les monades douées de mémoire, comme chez les animaux ; et enfin les monades douées de raison et d’aperception, c’est-à-dire de conscience réfléchie, comme chez les humains. Seul l’homme, capable de saisir l’harmonie du monde.
En effet, Leibniz expose dans un premier temps, la connaissance d’enchainement logique à la répétition de cas