Les animaux dénaturés
L’être humain Gr :3416
Travail sur Les animaux dénaturés
Depuis que l’homme est capable de penser, que ce soit à l’époque des grecs, des romains ou, bien sûr à notre époque contemporaine, il n’a cessé de se poser des questions sur ce qui l’entoure, sur le sens de la vie, de son but dans la vie. Étonnamment, il n’a jamais soulevé quelques hypothèses concrètes que ce soit sur ce qu’il est, ce que nous sommes, nous les êtres humains! Justement, il s’agit ici de se pencher sur le texte de science-fiction Les animaux dénaturés de Vercors qui aborde le sujet d’une façon fracassante en tentant de nous faire réfléchir sur la question de l’être humain ainsi que, fictivement dans ce cas-ci, sur l’interrogation suivante : «Doit-on considérer le tropi comme un humain?» Nous y verrons les différentes étapes du problème posé de ce roman, à la manière dont les personnages tenteront de le résoudre. J’y expliquerai aussi cinq caractéristiques que les tropis partagent avec l’homme ainsi que mon opinion, en se basant sur ces caractéristiques, sur la considération du tropi en tant qu’être humain.
En premier lieu, comme je l’ai cité ci haut, le principal problème abordé dans cette œuvre de Vercors est de trouvé une définition exacte de l’être humain afin de le différencier de la bête, tout particulièrement du tropi, découvert sur une île près de la Guinée dans l’océan Pacifique par un groupe de scientifique, biologiste et anthropologue ainsi que Doug, qui fait office de «journaliste constatant les faits». Quand vint cette découverte incroyable, c’était à se demander d’abord si l’on devait considérer cette espèce comme un être humain possédant des droits universels tel que tout autre homme. Les opinions sont très partagées entre les explorateurs britanniques qui décèlent plusieurs caractéristiques propres à l’homo sapiens chez les tropis. Puis vint la grande indécision du père Dillighan de baptiser les tropis, ne sachant guère