Les belles images

810 mots 4 pages
Est-ce que vous êtes allés à un concert classique ? Dans ce cas-là, peut-être que vous avez remarqué le bruit pas du tout unanime qui font l’orchestre, quand tout le monde répète avant de commencer à jouer ensemble. Dans la même manière commence « Les belles images » de Simone de Beauvoir. Au début du livre on a l’impression d’écouter parler plusieurs voix en même temps. Petit à petit apparaît le personnage principal, Laurence, autour laquelle l’action se déroule.

Le plus souvent le narratif est composé par un dialogue, mais des fois ca change au récit à la première – je – ou à la troisième personne – elle ou Laurence. Cette disposition stylistique est des fois un peu perturbante. Il y a aussi des séquences qui suivre directement sans que de Beauvoir laisse comprendre qu’il y a en fait une rupture dans la chronologie.

A première vue, Laurence c’est une femme qui mène une vie accomplie. Son mari Jean-Charles est l’homme idéal, et les deux ont des métiers intéressants et bien payés. Ils ont deux belles petites filles, Louise et Catherine. Ils habitent dans un bel appartement à Paris, les week-ends ils fréquentent la maison de campagne de la mère de Laurence. La mère, Dominique, est une dame très chic qui est toujours entourée des gens de la haute bourgeoisie de Paris. Il semble que Laurence n’a pas des problèmes, à part de trouver le resto le plus branché à Paris. Pourtant elle se sent indifférente de tout et ne voit pas le sens de la vie. Elle a l’impression de manquer quelque chose, mais elle ne sait pas tout à fait quoi. Cela se manifeste quand Catherine, sa fille aînée, commence à poser des questions sur la vie, comme « Pourquoi il y a des gens malheureux ? » et Laurence fait tout pour que Catherine soit protégée et pour qu’elle ne connaisse pas les atrocités du monde. Par exemple, Laurence lui interdit de lire les journaux (parce que les faits divers traitent les injustices du monde) et elle dit à ses copines qu’il ne faut pas lui raconter des choses

en relation

  • Lettre Philosophique sur Margaret Thatcher, transfuge social
    746 mots | 3 pages
  • Olliver twist
    1788 mots | 8 pages
  • Ferragus
    3597 mots | 15 pages
  • Le journal d'adele
    381 mots | 2 pages
  • "Moi qui n'ai pas connu les hommes" : critique
    1441 mots | 6 pages
  • Andréa
    531 mots | 3 pages
  • ed ds tn cyul
    670 mots | 3 pages
  • Résumé de "lettre à ma mère" de simenon
    416 mots | 2 pages
  • Un concept pour scandale dior
    774 mots | 4 pages
  • Vil Pachyderme textes d un crivain rat et sarcastique
    376 mots | 2 pages
  • Roman imaginaire
    2267 mots | 10 pages
  • Résumé LES BELLES IMAGES
    4362 mots | 18 pages
  • Antigone
    1180 mots | 5 pages
  • Matieu
    1580 mots | 7 pages
  • Demande d'un role
    292 mots | 2 pages