Les business modèle du web
1) Le modèle Freemium
Attirez votre audience avec une version gratuite, rendez-la accro, puis proposez une version “premium” avec plus de fonctionnalités, moins de limitations, bref, mieux. La grosse problématique ici consiste à savoir comment limiter suffisamment la version gratuite pour que les utilisateurs ne s’en contentent pas… mais qu’ils aient le temps de l’apprécier suffisamment…Comptez entre 0 et 5% de conversion, en gros… L’envers de ce chiffre c’est que vous-même, il y a de forte chance pour qu’au mieux vous ayez payé 1 fois sur les 20 derniers sites que vous avez testé !
2) L’affiliation
Il s’agit ici de rediriger le trafic vers des sites partenaires, dont on recevra une commission (compter de 3 à 20%) sur les achats effectués (que ce soit des commandes de marchandises… ou des inscriptions en premium !). Il est donc important de créer une communauté de gens qui vous écoutent, qui ont des intérêts communs… et qui donc vont être plus aptes à suivre vos recommandations d’achat !
3) L’abonnement
En fait, c’est un des business-models de base du service. C’est comme le Freemium, mais sans la partie gratuite. Les utilisateurs doivent donc payer un abonnement (mensuel, annuel, …) pour accéder à la prestation. La question ici réside non seulement dans le prix à facturer régulièrement, mais aussi sur l’explication de ce principe d’abonnement, versus l’achat pur et simple, one shot. Souvent, la qualité de service, l’actualisation permanente du produit, … est une bonne manière de le faire.
4) L’utilisation des données
Vous avez des utilisateurs, et plus vous les connaissez, plus vous pouvez les mettre à profit pour les monétiser. Vous pouvez ainsi « revendre » vos contacts, faire des opérations croisées, du bon marketing direct quoi. Votre connaissance de la cible fait aussi de vous des consultants en puissance… Attention cependant à comment vous utilisez ces données, au risque de vous faire taper sur les doigts