Les chemins qui mentent
Introduction :
"Les chemins qui montent" est un roman magribin prenant place dans le début des années cinquante, avant la Révolution de Novembre, l'écrivain Mouloud Feraoun mit entre les lignes de ses événements certains des problèmes du peuple algérien durant l'occupation française.
C'est une histoire d'amour entre Amer Ait-arabe et Dahbia dans le village de "Ighil Nezman". Il a traité plusieurs thémes aussi comme l'émigration, le mariage mixte, la religion... etc. Mais ce qui nous concerne est l'histoire d'amour fondamental dans le roman.
Mouloud Feraoun c'est un écrivain algérien d'expression française né en 1913 à Tizi-Hibel, son vrai nom c'est Ait-Chaabane, le nom Feraoun est le nom donné par l'état civil français. Élève de l'école normale d'Instituteurs de Bouzareah (Alger), il enseigne durant plusieurs années comme instituteur, directeur d'école et de cours complémentaire, avant d'être nommé inspecteur des centres sociaux. Feraoun commence à écrire en 1934 son premier roman, Le fils du pauvre.
L'ouvrage, salué par la critique obtient le Grand prix de la ville d'Alger. Aussi quelques romans qui représentent la vie kabyle à l'époque comme "La terre et le sang, L'anniversaire... etc.".
L'écrivain est abattu le 15 mars 1962 à Alger, à quatre jours seulement du cessez-le-feu, par un commando de l'OAS (l'assassinat de Château Royal).
Présentation de l'œuvre :
Ce roman était rédigé pendant les années noires de l'Algérie, où les années cinquante ont été une période historique témoin de la naissance du roman de l'Algérie de l'expression française. La première publication de cet œuvre était en 1957 en France de l'édition de Seuil une maison d'édition française créée en 1935.
"Les chemins qui montent" est publié parmi une collection très riche la Collection Méditerranée, qui contient des chefs-d'œuvre de plusieurs écrivains français et algériens. Mouloud Ait-Chaabane connu par Mouloud Feraoun, le nom