Dissertation écrite. Les cités gigantesques ne répondent ni aux souhaits, ni aux besoins, ni au bonheur des hommes. Cette citation peut-elle être confirmée? Déjà faut-il savoir que derrière « cités gigantesques » se cache le mot « ville ». Depuis quelques siècles, la population humaine a considérablement augmenté et par conséquent, le nombre de villes a de même augmenté. Nous sommes actuellement au XXIe siècle et plus de la moitié des terriens habitent une ville. Mais est-ce que ces villes coïncident à l’homme ? Plus clairement, l’homme est-il comblé en vivant dans une ville ? Faisons le point. D’abord, il faut relever l’abondance de la violence urbaine. Il y a beaucoup trop de délinquance en ville ! A partir d’une certaine heure le soir, nous promener en ville devient un danger. La violence gratuite est trop présente au sein des villes. Des coups de couteaux, des bagarres après quelques verres, des agressions physiques pour quelques pièces. Nombreux sont les exemples. De ce fait, les zones urbaines ne sont guère sans danger. Ensuite, on retrouve, dans toutes les villes, une pollution sonore ou une pollution de l’air. Par exemple, faire une sieste dans son immeuble en pleine journée est très difficile, le bruit sourd des klaxons de voitures, les sirènes d’ambulances ou encore le volume de la TV du voisin du dessous n’arrangent en aucun cas les choses. Les industries installées en périphérie de la ville laissant s’échapper des fumées polluent le ciel ou parfois pire, atteignent jusqu’à la santé des habitants. Habiter en ville après avoir soulevé ses différents critères n’a rien d’agréable. De plus, dans beaucoup de villes, on retrouve la solitude chez certaines personnes, notamment les personnes âgées qui vivent seules. Dans une ville, on oublie tout le monde, on vit pour soi, alors qu’un bonjour sur les trottoirs est si facile à dire. C’est du chacun pour soi, on en oublie les personnes qui vivent en face de notre immeuble, alors que dans les