Récemment les dimensions spatiales ont plus figuré dans les travaux sur les classes supérieures et les classes populaire, tandis que les relations sociospatiales entre les classes moyennes d'une part, et d'autre part les classes supérieures et les classes populaires sont peu évoquées. Or les situations de coprésence de ces classes caractérisent la structure et l'évolution de la métropole parisienne. Pour comprendre ces dernières "structure et évolution de la métropole parisienne" l'article propose un ensemble de thèses qui traite la relation entre les transformations des structures des villes et la place que les classes moyennes occupent. la dualisation: contrairement au modèle Américain ou on assiste à un déclin des classes moyennes, les travaux sur l'Ile de France montrent que la dualisation sociale n'est pas vérifiée, les catégories moyennes ne cessent d'augmenter au même titre que les catégories supérieures alors que les catégories populaires ne cesse de diminuer. Par ailleurs la dualisation sociospatiale se confirme ,certains sociologues(Dubert,Lapeyronnie,Martuccelli) la relient à la difficulté de constituer une société nation à haut niveau d'intégration, à son glissement vers une société de ségrégation, à la présence des quartiers en difficultés dans la banlieue....
La gentrification: les travaux récents s'intéressent au profil des arrivants dans les banlieue ,leur niveau de diplôme et la valorisation d'un mode de vie alternatif leur permettent d'exister dans leurs différences avec toutes les catégories.la qualité de ces espaces urbains ainsi le mode de vie(culture, art, création...) engendra le flambement des prix du foncier ainsi la difficulté des classes populaires à y vivre ce qui engendra le départ de ces populations.
La sécession et le repli: différemment du modèle Américain, en France on assistera pas à la sécession des classes moyennes mais le phénomène touchera Just les catégories les plus supérieures(fonction libérale, cadre