Les femmes traductrices
La traduction comme geste intellectuel était purement un constat pour homme.
La femme dans les anciennes sociétés n’avait pas d’importance. Son se limite dans, faire les tâches de ménage, faire des enfants d’être prostituée, ou même une religieuse.
Mais, à travers l’histoire, il ya quelque femme qui ont brisé la règle, comme Annie Brisset. Ces femme ont refusé d’accepter les limites que la société leur assignait.les femmes essayaient d’agir contre la société et ses rumeurs, produites, sur l’incapacité intellectuelle des femmes. Que ce soit la société interne ou la société externe. C'est-à-dire, elles ont décidé de casser l’image que la société leur ont crée, en relevant le défie de d’abord s’instruire. A cette époque l’instruction était un privilège pour les hommes et auquel les femmes n’avaient pas droits.
Les traductrices sont allées plus loin en faisant la traduction des chefs-d’œuvre, comme Mm.Dechatelai et Mm. Dacier qu’on dit à propos d’elle : « Madame Dacier à joint à tous les défauts d’Homaire et tous ceux de son esprit, tous ceux de son étude, et j’ose même dire tous ceux de son sexe ; tel que cette prêtresse superstitieuse qui déshonorait le dieu qu’elle rêverait et qu’elle diminuait la religion à force d’augmenter le culte. »
Le défit est allé jusqu’à traduire les textes fondateurs comme Julia Smith.
Cette dernière à constaté que les premières traductions étaient faites ou traduites mot à mot. Ce qui a modifié ou changé ou parfois fait perdre le sens. Ce qui a donné une mauvaise interprétation de la bible. A son tour Julia Smith en traduisant le sens la bible, elle a essayé de voir le contexte et d’étudier le sens voulu dans la langue source pour le bien transmettre vers la langue cible. En traduisant, elle propose ses traductions à ses sœurs-cultivée à leur tour- pour s’avoir si elle a pu atteindre le sens plus ou moins juste.
En guise de conclusion, il faut signaler que tout au long des siècles les