Les figures maternelle

517 mots 3 pages

Le corpus est composé de trois extraits tirés de Sido de Colette, des Raisins de la colère de Steinbeck et enfin du Roi sans divertissement de Giono. Chaque texte propose une figure maternelle au travers d'un portrait assez superficiel ne s'attardant que sur quelques éléments tels les yeux, le regard, l'odeur, la main ou encore la tenue vestimentaire. Les mères et grand-mère présentées sont des figures fortes, actives et impliquées dans leur vie de famille et qui ont laissé un souvenir fort aux narrateurs. Tout d'abord, nous constatons que chacune de ces figures maternelles est active. Les nombreuses énumérations telle que "elle avait visité la momie exhumée, le musée agrandi, le nouveau magasin, entendu le ténor et la conférence sur La Musique birmane" aux l. 5-7 du texte de Colette ou encore la proposition subordonnée relative "dont elle tenait une grappe dans chaque main" l.22 ainsi que la proposition "distribuant des parts de gâteaux et des verres de sirop" l.28 du texte de Giono nous démontrent bien cette idée. Parallèlement, le personnage de Man dirige involontairement son entourage "elle semblait connaître, accepter, accueillir l.5 ; elle s'était accoutumée à refuser l.8 ; elle avait pris l'habitude de rire l.10", tandis que Madame Tim commande ses petits-enfants tel un "tambour-major" l.19 (métaphore). Quant au personnage du premier texte, on perçoit qu'elle possède une fonction de gestion voire même de contrôle. Encore une fois, l'énumération de verbes d'action "elle parlait, appelait la chatte, observait […], touchait et flairait mes longues tresses pour s'assurer que j'avais brossé mes cheveux" l.17-18 nous indique cette idée. On peut donc affirmer que ces trois femmes ont une place importante dans le fonctionnement de leur famille. Par ailleurs, ces trois figures maternelles sont aussi des personnes sources pour leur entourage. Elles prodiguent émerveillement "elle nous rapportait" l.8 est répété deux fois dans l'extrait de

en relation

angel
979 mots | 4 pages

Vous pouvez me le/la passer s’il vous plaît ? Merci ! A QUEL SUJET ? Je suis Dominique Blanc, du Magazine du cheval, et je….

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Fiche e4
868 mots | 4 pages

On disait même, oh oui que la mer l’enviait Que la montagne se courbait pour la laisser passer Elle m’emmena au loin avec une douceur sans fin Et ses bouclettes dorées dégageaient ce parfum Qui depuis des années guidait ton chemin, mon chemin, le chemin Refrain Pour arriver enfin à ces rêves d’enfants Qui n’ont pas de limites comme on a maintenant J’ai vu des dauphins nager dans un ciel de coton Où des fleurs volaient caressant l’horizon J’ai vu des arbres pousser remplaçant les gratte-ciel J’ai vu au fond de l’eau une nuée d’hirondelles….

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Cookie
445 mots | 2 pages

Tout d’abord, parlons de la parodie, ce film regorge de moments qui paraissent totalement iréels comme lorsque l’on voit cette femme âgée, venue chercher de l’aubépine dans un cimetière en pleine nuit, qui croit que la main d’un cadavre accroche le bas de sa jupe alors que ce n’est en fait qu’un simple rateau posé par terre. La fois aussi où l’on peut voir qu’un simple chaton caché dans une armure peut autant effrayer deux hommes effectuant des recherches dans un bureau. La musique est souvent la même. Lorsque l’on voit Luna qui souhaite effrayer les deux tziganes semble tout droit sorti d’un film d’horreur.….

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note d'intention
597 mots | 3 pages

Nous avons choisi de représenter une mère parfaite qui voit ses deux enfants qu’elle aime autant l’un que l’autre. Les deux enfants sont ainsi des filles qui portent les mêmes vêtements et qui ont toutes les deux des rubans dans les cheveux. Cette similitude vise à mettre en avant cet aspect égalitaire, la mere ne fait visiblement aucune distinction entre ses enfants. Pour accentuer ce côté de “famille parfaite”, nous avons choisi de mettre beaucoup de photos de famille dans la salle et de chercher faire un traitement qui fait référence aux publicités des années 50-60 (voir annexe). Le traitement comporte une lumière plutôt vive avec des couleurs pastelles en accord avec l’annexe.….

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Garry Winogrand
261 mots | 2 pages

On y trouve tous les thèmes qui l’ont obsédé durant toute sa vie : comme l’humour, mais aussi une sensation d’étrangeté, de sauvagerie avec le singe présent dans la voiture. L’homme et la femme n’étaient pas au courant qu’ils étaient pris en photo, effectivement Winogrand était très discret lorsqu’il prenait ses photos, il ne pointait pas son appareil de façon observatoire. Source : http://www.jeudepaume.org/?page=article&idArt=2012,….

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Temoignage homi
529 mots | 3 pages

On aurait pu croire à deux copines. C’est comme ça qu’on les présentait d’ailleurs. “Je te présente la grand-mère d’Amélie et son amie.” Alors qu’elles n’étaient pas amies, elles étaient amoureuses. On nous a jamais caché le fait qu’elles étaient ensemble, mais ça semblait normal donc on a jamais pris la peine de vraiment l’expliquer.….

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Alain
328 mots | 2 pages

Ainsi le dessin du fau¬cheur, je dis le vrai et beau dessin, n'est pas toujours celui qui plaira au premier instant. On peut prendre pour conventionnelle l'attitude de l'escrimeur et celle du cavalier, comme aussi la pose du cheval, si l'on n'a pas assez regardé, et surtout si l'on n'a joué cette mimique soi-même. Mais distinguons ici deux mimiques, celle qui fait quelque chose, et celle qui ne fait rien qu'exprimer. Le dernier juge c'est la passion, qui doit être vaincue.….

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Analyse sur le chevreuil et le chevreuil
776 mots | 4 pages

C’est une exagération qui explique le sentiment que l’homme vivait à cet instant était tellement intense qu’il compare ça à s’avoir fait tirés milles flèches d’un coup dans son flanc. (180 mots)Dans le texte « Comme un chevreuil… », le chevreuil et l’homme, étant nouveaux et innocents face à ce nouveau monde fait preuve de « pureté », le deuxième thème secondaire. En effet, le chevreuil est vu comme un animal noble et c’est le mois d’avril, le « printemps » (vers 1), la saison après une dure hiver. Le mois d’avril c’est lorsque la nature bourgeonne, que la neige est presque toute fondue et que la nature reprend vie.….

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Commentaire Breve Invitée
738 mots | 3 pages

Les registres dans lesquels le poème d'Andrée Chedid s'inscrit sont tout d'abord dans le lyrique et le pathétique. L'auteur laisse beaucoup de place, voir même toute la place à l'expression de ses sentiments dans son oeuvre. À travers le chagrin, la tristesse que l'auteur évoque de la jeunesse de sa fille qui file : « Je te regarde demain t'emporte, Où je ne saurais aller ». Il est toujours question de temps entre les deux personnages, car elles n'ont pas le même âge et elles savent que la vie à une fin, surtout la mère « Ma vie s'éloigne à reculons ».….

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C'est trop injuste
503 mots | 3 pages

À partir de ce moment, elle a réalisé qu’elle était un apport important pour la compagnie, ce qui semble très important pour elle étant donné toute l’énergie qu’elle avait investit afin d’exécuter le mieux possible toutes les fonctions qui lui sont confiées. Marie a l’attitude d’une travailleuse persévérante, elle est très exigeante envers elle-même et a un côté perfectionniste. Elle semble avoir constamment le sentiment qu’elle aurait pu faire mieux. C’est pourquoi, malgré le fait qu’elle ait eu d’excellents commentaires suite à son mandat au Costa Rica et qu’elle ait rapidement maîtrisé les fonctions principales reliées à son poste, qu’elle accorde beaucoup d’importance à son évaluation annuelle fait par son directeur. Elle veut se faire confirmer à nouveau et hors de tout doute que son travail et son attitude sont des plus satisfaisants.….

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Marilyn
268 mots | 2 pages

Elles sont utilisées pour attirer, voire choquer l'oeil, afin qu'il retienne l'image. Elles sont également fortes, parfois foncées sur certains portraits, font presque disparaître son image. Sur deux des protraits, le visage de l'actrice ressort bien. ( sur le 2 et le 10 ). Ce sont les deux qui se rapprochent le plus de la réalité, en terme de couleurs, la couleur des cheveux, de peau..….

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Bac de francais s es
452 mots | 2 pages

Les trois textes du corpus appartiennent au XXe siècle. Colette nous propose dans Sido son émerveillement pour sa mère Sidonie. John Steinbeck, dans Les Raisins de la colère, met en scène la forte personnalité de Man, le pivot du clan Joad, tandis que Jean Giono, dans Un Roi sans divertissement, rapporte l’exubérante bienveillance de Mme Tim pour ses petits-enfants. Ce qui frappe immédiatement dans les trois extraits est l’affectueuse admiration pour ces créations maternelles. Sido est avant tout la gardienne et l’âme de sa petite famille, « inquiète de tout ce qui, privé d’elle, perdait la chaleur et le goût de vivre ».….

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Les confessions
518 mots | 3 pages

J'étudiais un jour seul ma leçon dans la chambre contiguë à la cuisine. La servante avait mis sécher à la plaque les peignes de mademoiselle Lambercier. Quand elle revint les prendre, il s'en trouva un dont tout un côté de dents était brisé. A qui s'en prendre de ce dégât? personne autre que moi n'était entré dans la chambre.….

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Frankenstein
454 mots | 2 pages

C’est un jeu….

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Culture populaire
7486 mots | 30 pages

-Dans chaque paragraphe il faut aller du plus large au plus précis. -Enoncer son idée ---> argument ---> donner un exemple (donc un exemple par paragraphe). (Réviser les mots de liaisons en français) -Conclure avec une conclusion qui est la pour conclure de façon nuancé ! En France la culture populaire c'est a dire la culture de masse est apparue dans les années 1860 en même temps que l'appariation de la presse papier et depuis l'essor des journaux à grande diffusion.….

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