Les grand rhétoriqueurs (1460-1520)
1. Les rhétoriqueurs et l’histoire :
Eux même s’appelaient rhétoriciens, c a d praticiens habiles des deux rhétoriques oratoires et poétique. Ces poètes pratiquent une littérature de cours, mais il existe aussi des cercles littérature qui organisent de concours de poésie, comme à Rouen ou l’on retrouve jean Marot, Parmentier…
Leur travail consiste a louer les perso et la cours auquel ils sont attachés, et a mettre ainsi en place un idéal de gloire qui marquera la littérature monarchiste du 16e siècle.
Pierre Gringore est entretenu par Louis 12 à des fins de propagande et jean Marot tien le mm rôle a la cour de François premier. Cette mission est particulièrement sensible dans les nombreuses pièces de circonstances que les écrivains sont tenus de produire lors des événements affectant les familles princières.
Le genre de la plainte funèbre oriente la mort vers une idée de gloire et immortalité. Vision de la mort édifiée qui au 14 et 15e s apparaît encore comme macabre. La mort= occasion d’une pompe et d’une mise en scène dont on trouvait les prémices dans les « Triomfi » de Pétrarque. (1352)
Le rhétoriqueur a une grande idée de fonctions et de la littérature, il s’agit de parler a la place du prince et des sujets.
Représenter la parole du prince ne mène d’ailleurs pas obligatoirement à la fortune. Si Guillaume Crétin jouit d’une carrière ecclésiastique brillante, Jean Marot meurt pauvre. Toutefois ces auteurs ne négligent pas le rôle moral et politique des poètes dans la dénonciation des abus.
La satyre anti-curial est une vieille tradition qui se poursuit. = « Doctrinal des princesses » = satyre contre la cours (1510-1511) Jean marot.
Ces cibles ne sont pas seulement obligées, elles signifient que derrière la virtuosité technique des rhétoriqueurs se cachent ou s’exaltent un idéalisme de la vertu et un désir d’harmonie certain. Cette harmonie est vue dans les sphères ou dans l’architecture proposée comme