Les heritages du syndicalisme farncais au xix
La première définition du syndicalisme
En 1900 le fait syndical est présent dans tous les pays d’Europe .Syndicalisme est synonyme de mouvement ouvrier. Il représente l’opposition des travailleurs salariés au développement du capitalisme. De manière majoritaire il s’exprime idéologiquement et politiquement à travers le socialisme.
Les tout débuts du syndicalisme
En France la loi Le Chapelier, en 1792, en interdisant aux compagnons de se regrouper pour défendre leurs droits, a permis que pendant toute une phase de l’industrialisation se déroule sans que les salariés puissent au grand jour puissent s’unir pour poser leurs revendications. De façon empirique se sont constitués des associations clandestines, des sociétés de secours mutuel.
Il faut attendre défendue devant le parlement de Pierre Waldeck-Rousseau et votée par le 21 mars 1884, pour que les syndicats puissent exister en toute légalité .Il s’agit en réalité d’une reconnaissance du droit à se syndicaliser
.La législation concernant l’association n’est promulguée qu’en 1901 .En outre le pouvoir politique s’efforce par la loi de 1884 de mieux contrôler les syndicats.
Il oblige le responsable à déposer leurs noms et les statuts de leur organisation à la préfecture de police.
La loi interdit de discuter des questions non professionnelles .La politique est bannie des débats comme l’idéologie ou la religion.
La loi Waldeck-Rousseau n’est donc pas seulement une disposition libérale qui permet l’éclosion des syndicats, elle constitue également un moyen de surveiller et de punir les défenseurs de la classe ouvrière.
Le domaine économique, la France au seuil du XXème siècle
La France est un pays industrialisé et relativement moderne tient une place importante en tant que puissance économique dans le monde. Or il est faiblement syndicalisé (moins de 15% des salariés susceptibles d’être syndiqués)
Le fondement du syndicalisme français
L’un des principaux