Les trois formes d’histoire : L’histoire monumentale, traditionaliste et l’histoire critique (Chapitre. 2) p 514. Tout d’abord Nietzsche aborde l’histoire monumentale puis l’histoire traditionaliste et pour finir l’histoire critique. Histoire monumentale : lorsqu’un homme qui veut faire de grandes choses à besoin du passé avec cette histoire il se l’approprie. T : Celui qui se complait dans les ornières de l’habitude et le respect des choses anciennes cultive le passé en historien traditionnaliste. Et pour finir, Critique : présent oppresse et qui veut à tout prix se débarrasser de ce fardeau.
T : gout de la vénération et de la conservation. C : Examinant le besoin présent, pesant et passionné de juger et de condamner le passé à travers ce que Nietzsche appelle le pathos du jugement et le critère d'évaluation du passé par l'historien exige la création future de nouvelles valeurs et la vertu de justice pour sonder les origines de la souffrance individuelle actuelle.
B) -L'histoire monumentale Elle consiste à raconter à une personne la vie des gens qui se distinguèrent et devinrent célèbres alors qu'à l'origine ils sont partis de rien. Ainsi, la personne peut voir qu'elle peut faire aussi bien que Jeanne d'Arc, Napoléon... L'histoire monumentale permet donc de soigner le manque de confiance en soi. -L'histoire traditionnelle Elle permet de résoudre le problème de la solitude. En effet, une personne qui se sent seule peut prendre conscience qu'en fait, elle ne l'est pas. En regardant un tableau ayant appartenu à plusieurs de ses ancêtres elle sentira, non pas une présence physique, mais un soutient psychologique. Ainsi, lui raconter les traditions familiales, la vie de ces ancêtres ôtera à la personne se solitude. -L'histoire critique Enfin, il y a l'histoire critique qui elle, permet, dans certains cas, à déculpabiliser une personne vis-à-vis de son passé. Prenons par exemple le cas d'une personne qui culpabilise car elle