Les hommes sont amenés a penser par eux même
Dans le premier extrait des raisins de la colère Steinbeck tend à montrer que la justice institué démolit la morale : « ils ne représentent pas la loi. Ils tâchent à nous démolir le moral. » et lorsque Tom Joad dit « il arrive à un moment où la seule facon pour un homme de garder sa dignité, , c’est de casser la gueule a un flic » il faut comprendre qu’il exprime ici la fait que la seule facon pour un homme de garder une morale c’est de rompre avec l’autorité judiciaire, de faire justice par soi-même et s’il le faut par la force.
Ainsi les hommes qui entourent la voiture armés de pioches et de fusils expriment cette justice faite par la force. De plus, « quelques-uns ,pour se donner une allure militaire, portaient des tuniques et des baudriers « pour incarner à la fois une justice légale, instituée qui ne le serait toute fois pas mais qui serait fidèle a leur pensées.
Dans le second extrait du livre de Steinbeck, des hommes aspergent de pétrole des tas d’orange et ces hommes « sont furieux d’avoir a commettre ce crime « , tel qu’ils sont furieux de brûler du café dans les chaudières ou du mais pour se chauffer, tout cela au détriment des plus pauvres . Et ce crime est dit « si monstrueux qu’il dépasse l’entendement. », c’est-à-dire qu’il dépasse la raison, et encore plus la morale puisque que l’homme qui a commis le crime est « furieux » et donc va à l’encontre des ses principes personnels. C’est ainsi que Steinbeck exprime la fait que la justice instituée va à l’encontre du jugement moral , pour maintenir les cours, l’homme a la devoir de détruire tout son surplus de production alors que cela est contre sa volonté.
Chez Eschyle lorsque le fantôme de Clytemnestre dit « dans le sommeil brillent les yeux de la pensée » « entendez moi je plaide pour mon âme » ou encore « eveillez vos pensées déesses souterraines » elle exprime ici le