Les identités meurtrières partie 4
Amin Maalouf introduit ce chapitre en se demandant si, pour chaque problèmes que l’Homme provoque, il y une solution. Certes la technologie de plus en plus moderne ainsi que les sciences en constante progression, permettent de limiter les dégâts, mais cela est à double tranchant. On pourrait tout aussi bien détruire grâce à ces avancées ! Faudrait-il encore que l’Homme soit motivé à faire un effort.
Les problèmes d’identités nationales viennent en partie de la mondialisation. En effet, si chaque pays est appelé à évoluer, il est aussi appelé à perdre une partie de son patrimoine et de son identité. Si le fait de perdre telle ou telle espèce animale est important, pourquoi n’en serait-il pas de même avec les civilisations du monde entier ?
Selon Maalouf, les Hommes ne pourraient se regrouper par religion, mais bien par langue. En effet, des groupes de personnes ayant la même religion ne sauraient communiquer s’ils n’ont pas une langue commune. Par contre, des groupes de personnes ayant des religions différentes mais une langue commune pourraient se rassembler et former un groupe pouvant dialoguer et aller de l’avant. La base de tout rassemblement étant la communication des uns avec les autres. Ceci dit, il est vrai que par opposition de centre d’intérêts, ou d’avis divergeant sur telle ou telle question, les individus auraient plutôt tendance à se repousser qu’à s’allier.
Pour la langue, on peut parler anglais, français, néerlandais, allemand,… sans problèmes. Ce n’est pas le cas pour les religions : on ne peut être musulman, juif, catholique, luthérien ,… .
Résumé (cf wikipédia )
Maalouf énumère quelques solutions et pistes pour apprivoiser la panthère, c’est à dire l’identité. D’abord, le principe de réciprocité, selon lequel il faut que se crée un patrimoine universel (mondial, appartenant à l’humanité), dans lequel tous pourraient se retrouver, et ainsi, primerait avant tout l’appartenance humaine.