Le FMI, la Banque Mondiale, et L’OMC ont des modalités d’action qui influent profondément sur les politiques nationales des Etats membres et qu’ils sont de ce fait rensponsable envers un plus large éventail de partenaire qui s’estiment fondés à demander des comptes à ces institutions.

A la suite des crises financières survenues dans les années 90, les pays indus puiss, membres du FMI et de la BM, ont confié à ces institutions la mission de mettre en œuvre des réformes structurelles profondes et énergiques dans les économies de tous les pays membres dans le but de remédier aux insuffisances des systèmes financiers intérieurs, de stimuler la croiss et de réduire la pauvreté.

Le FMI et la BM ont été crées au lendemain de la 2GM, à une époque où l’opposition à l’interventionnisme des institutions internationales était forte. D’entrée de jeu, la nécessité de respecter la souverainneté des gvts mbres limitait en théorie le champs des act du FMI & de la BM.

Par la suite, les exigences de la GF ont dénaturé ce refus d’intervenir. Des considérations de stabi polt et d’endiguement géostraté ont incontestablement pesé sur les décisions d’octroyer des prets des instit fin internat. Lorsque la crise de la dette s’est déclarée, le FMI comme le BM ont commencé à recourir davantage aux prets en faveur de reformes et à la conditionalité.

Initialement, l’accent était mis sur les indicateurs macro-éco et sur des réformes sectorielles spécifiques.

La création de l’OMC en janvier 1995, a modif la portée et l’impact de la regul internationale du commerce. L’OMC ne consent pas de prêt et n’impose pas de conditions. Elle a néanmoins été créée sur la base du principe du « tout ou rien », en vertu duquel les pays devaient s’engager à devenir membres de plein droit dasn le cadre d’un engagement unique, en adhérent à un système fondé sur les règles, pas uniquement pour les courtes périodes couvertes par les prets ou la durée des négociations, comme c’est le cas avec le FMI ou