Les mots sont des murs résumé
(résumé du livre préparé par Christine Keller−Chassot, Gymnase de Morges, http://www.gymnase−morges.ch/docs/Rosen.html)
Introduction Trois objectifs 1. Comprendre ce qui déclenche la violence dans mes comportements, mes paroles ou mes réponses > le langage qui juge : il correspond à de la domination et induit de la soumission ou de la révolte > l’attribution à l’autre de la cause du conflit : − elle implique l’incapacité de reconnaître ma propre vulnérabilité et celle de l’autre − elle a pour effets : soit la culpabilisation de l’autre, ce qui induit sa résistance (cela consiste à lui attribuer la responsabilité de mes sentiments, ce qui est un leurre / cf. plus bas), soit une contre−attaque de l’autre donc un conflit, soit encore un soumission momentanée ou durable, mais l’autre nourrira de la rancoeur, de la mauvaise estime de soi et de la mauvaise volonté − en fait, mon analyse des torts de l’autre reflète l’expression de mes sentiments et mes besoins non satisfaits Trouver les mots et attitudes qui ouvrent afin d’agir là où je peux le faire
2.
> il s’agit d’écouter l’autre pour connaître sa perception, ses sentiments, ses besoins et ses souhaits > > 3. lui témoigner mon respect, mon empathie puis me faire entendre: exprimer mes sentiments, mes besoins et mes demandes Développer l’expression de ce qui m’anime
> identifier mes: perceptions − émotions − désirs − donc, approfondir ma connaissance de moi−même et de ma manière d’entretenir des relations > ce qui peut me permettre de ne plus agir en esclave ou en simple exécutant
> −
me sentir responsable de moi−même et distinct de l’autre l’autre n’est pas là pour me rendre heureux − ni moi pour faire son bonheur
Plutôt que de se centrer sur les torts de l’autre et sur ce que je pense de lui > > ce qui n’apporte qu’un soulagement momentané mais aboutit à une impasse
Entraves à la