Les médias et la communication de crise (résumé)
Afin de pouvoir réagir à la crise et apporter une réponse aux médias, l’organisation doit pouvoir identifier la crise afin de pouvoir monter une réelle communication de crise.
Comme l’explique Régis Revéret, la crise contrairement à un incident est imprévisible. Cependant les organisations doivent anticiper la crise afin d’apporter une réponse à la sollicitation des médias ou même anticiper l’émulation qui se crée autour de la crise.
En effet, en période de crise l’organisation se retrouve face à deux cas de figures :
➢ Les médias subis
Ce sont les médias professionnels (radios, télévisions, presse écrite) qui sollicitent l’organisation afin d’avoir des infos.
Dans ce cas on parle de médias subis car on ne peut pas choisir les médias qui va faire l’interview, le journaliste et les informations transmisses peuvent facilement être détourné.
L’image renvoyée n’est pas toujours celle voulu et donc il y a une perte de contrôle de la communication.
Afin d’éviter au maximum de se retrouver face à une image que l’on ne souhaitait pas transmettre, il faut savoir prendre en compte les médias et se plier aux contraintes de ces derniers. Plutôt que de subir les médias il faut essayer de l’utiliser en préparant le discours selon les exigences des medias professionnels.
➢ Les médias choisis
Ce ne sont pas des médias non professionnels mais ils sont dirigés par l’organisation.
C’est un moyen d’avoir un contrôle sur la diffusion des informations. Cependant il est important de bien choisir ces médias afin qu’ils aient un réel impact et visibilité.
Selon Revéret, on peut faire une analyse afin de faire un tri selon certains critères dans le choix des médias :
• L’indépendance technique • La fiabilité technique • L’accessibilité au grand public • La finesse de pénétration des cibles • La personnalisation • La rapidité de fabrication • La rapidité de diffusion
Même si il vrai