I- Les niveaux de communication.
En fonction du nombre d’émetteur et de récepteur on distingue différents types de communication.

1) La communication interpersonnelle.
Dans ce cadre, nous avons la communication verbale et non verbale, et dans ce type de communication la rétroaction est systématique. Pour Eruing Goffman, sociologue américain, la communication c’est comme une scène. Nous somme en représentation permanente comme un acteur avec son public et ses coulisses et les coulisses c’est l’espace ou les acteurs peuvent contredire l’impression donner au cours de la représentation.

2) La communication de groupe
Elle nécessite un émetteur et des récepteurs (niveau utiliser dans une salle de classe). Cette communication est liée à la taille du groupe à sa fonction et à la personnalité de ses membres. Ce niveau de communication est utilisé dans la plupart des communications de marques qui n’utilisent pas les medias de masse.

3) La communication de masse
Ce niveau fonctionne quand l’émetteur s’adresse à plusieurs destinataire c’est le cas des medias de masse. La rétroaction est normalement impossible mais internet est venu bousculer les choses. En 1958 Vance Packard publie La persuasion clandestine, pour lui les publicitaires sont « ceux qui sont doués dans l’art d’exploiter l’intelligence des savants pour vous inciter à acheter ». En effet les publicitaires présente toujours les produits sur leurs plus beaux jours, ils font appel ainsi au ressources de la psyché humaine pour les faire briller. 4) La communication en réseaux
Le mot réseaux apparait en 1954 dans l’article d’un anthropologue britannique qui s’appelle Barnes. Il définit les réseaux de la façon suivante : c’est l’ensemble des relations entre des personnes et des groupes sociaux. A travers ces acteurs jouant le rôle de nœud, l’information transite pour être transmise à d’autres individus ou à d’autres groupes sociaux. Selon Bourdieu, le réseau social d’un individu