Aujourd’hui, au XXIe siècle, la Chine connaît son expension. Depuis le développement de l’Asie dans le marché international, le monde est touché au niveau planétaire. Cette situation nouvelle pour le pays n’est subit pas seulement par la population chinoise mais aussi par tous les travailleurs que ce soit en Chine, en Europe ou encore en Amérique. Les banques sont au centre de ce changement mais aussi les membres de la politique chinoise.

Lorsqu’on parle de la Chine, nous rapportons ces clichés. Nous la voyons comme une grande puissance politique, économique et aussi culturelle fière de son pays, comme un marché des humains ( exploitations en noir des pauvres), comme une république multiethnique, comme une discrimination de minorités au pouvoir central, comme une privation culturelle, mais aussi comme une surpopulation due aux problèmes liés aux ambitions du pays, ou encore comme un centre d’échanges commerciaux. Au sein du même pays, plusieurs problèmes surgissent : des inégalités économiques, mal-développement, victimes, accords entre le gouvernement et les populations, exploitation des ressources, conflits, sécherresse, migrations et tant d’autres.

Maintenant, si nous l’observons bien, nous remarquons que la mode de vie est complètement différent au nôtre, la culture diffère aussi. Une grande soif de pouvoir est toujours présent dans toutes les composantes car elle apporte cet envie de gouverner le monde. La modialisation de la culture et des richesses y est liée. Selon la vision darwinienne, l’Asie se situe au même niveau que l’Afrique. Mais pour la Chine, cela n’est pas tolérable. C’est pour cette raison qu’elle est devenue un nouveau pays industrilisé et aussi un pays émergent car le PIB par habitant est inférieur à celui des pays développés mais qui a une croissance économique très rapide et dont le niveau de vie tend vers celui des pays industrialisés.

Les raisons sont claires. La Chine veut tellement participer aux affaires mondiales qu’elle est