I- Parmi les choses qui existent, certaines dépendent de nous d’autres non. De nous dépendent la pensée, l’impulsion, le désir, l’aversion et tout ce en quoi nous agissons. Ne dépendant pas de nous : le corps, l’argent, la réputation, les charges publiques et tout autre chose sur lesquelles nous ne pouvons agir. Pour respecter le stoïcisme et être heureux, nous ne devons nous préoccuper que des choses qui dépendent de nous.
II- Si on cherche à éviter la maladie, la mort ou la misère, on sera malheureux car elles sont hors de notre contrôle. Nous devons essayer de combler nos désirs, nos impulsions et répulsions mais avec légèreté. De façon non-systématique et sans effort excessif de façon a ne pas être déçu.

III- Il faut voir les choses pour ce quelles sont vraiment, si un proche vient à mourir, il faut se dire "un être humain vien de mourir et je n’en serais pas autrement bouleverser ».

IV- On doit se préparer à tout ce qui pourrait arriver afin de ne pas se fâcher si sa nous arrive. Exemple, si on se fait voler durant une sortie, il faut comprendre que c’est hors de notre contrôle et qu’il y a alors aucune raison d’être contrarié.

V- Ce qui tourmente les hommes n’est pas la réalité mais plutôt les opinions qu’ils s’en font. Lorsque quelque chose nous tourmente ou nous chagrine, nous ne pouvons que nous accuser nous même et nos opinions.
VIII- Il ne faut pas attendre que les évènements arrivent comme on les souhaite, il faut plutôt vouloir ce qui nous arrive et nous seront heureux.

IX- La maladie n’est qu’une gêne pour le corps et non l’esprit, elle n’empêche pas de pratiquer le stoïcisme.

XI- Il ne faut jamais dire qu’on a perdu une chose, mais plutôt qu’on la rendu. On ne perd pas des proches, on les rend. C’est hors de notre contrôle.
XIII- Pour progressé philosophiquement, il faut accepter de passer pour un fou et un ignorant en tout ce qui concerne les choses extérieurs. Il ne faut jamais essayer d’avoir l’air instruit.
XIV-