GANDOLFI
Maxime
1M51

Synthèse

Aujourd'hui la France, comme beaucoup d'autres pays industrialisés, délocalise. Les usines sont installée au Maroc, en Chine ou en Europe de l'Est car la main d'œuvre y est moins chère. Alors peut on encore sauver le « made in France »? Nous nous pencherons donc sur le déclin industriel en France puis nous verrons pourquoi certaines entreprise ont fait le choix de relocaliser en France.

La France est en déclin industriel, comme beaucoup de pays d'Europe comme l'Italie par exemple. En 1999, 87% des voitures écoulées en France y était assemblé, aujourd'hui ce chiffre est passé a 43%, ce qui nous montre bien le déclin de l'industrie en France. L'état tente tant bien que mal d'y remédier déjà en 1993 puis aujourd'hui avec la « stratégie de reconquête »Mais selon Patrick Artus, directeur de Natixis, la ré-industrialisation est difficile, pour différentes raisons. La main d'œuvre a bas cout des pays en développement est une aubaine à la délocalisation, le cours très élevé de l'euro, surtout comparé aux monnaies sous évalués pays en développement; tous ces facteurs entrainent automatique les délocalisations.
Pour contrer cela, le gouvernement italien a instauré une nouvelle loi, cette loi instaure des conditions supplémentaires à propos de l'obtention du label « made in Italy ». En effet, cette étiquette ne sera autorisée qu'à partir du moment ou le cycle de production du produit aura entièrement été réalisé en Italie. Problème, cette loi peut être considéré comme un obstacle à la libre circulation des marchandises, de plus l'Italie a un peu coupé l'herbe sous le pied de l'Europe car cette dernière se penchait sur l'élaboration d'un « made in EU ».
Mais certaines entreprises échappent à la règle, c'est le cas de SEB, marque de poele et de casseroles et leader mondial dans sont domaine, qui possède des usines dans le monde entier mais qui se garde bien de donner ses secrets de fabrication, « pour vivre heureux, vivons caché »