Les systèmes éducatifs

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Système anglo-saxon
Toujours présent quand l’école fonctionne, l’enseignant se doit d’accompagner le jeune dans toutes ses activités.
Dans cette mentalité et cette conception de l’éducation, la liberté d’innovation est première et donne toute autonomie à chaque établissement de concevoir son programme et ses rythmes scolaires.
La richesse et les limites de ce modèle anglo-saxon : possibilité et capacité des innovations et des fondations produisant une grande diversité des établissements scolaires. Le chef d’établissement est le maître d’œuvre, et l’enseignant son employé pour la bonne marche de l’entreprise éducative
Favoriser l’initiative pédagogique et les expériences éducatives exemple : Summerhill
L’éducation globale de la personnalité, l’importance du sport, la formation morale et religieuse.
L’enseignant devient le conseiller, il accompagne l’élève dans la globalité de ses activités.
ITINERAIRE CHOISI LE PLUS IMPORTANT
Il anime aussi une équipe sportive, un club, un orchestre ou une autre activité parascolaire.
Son statut est celui d’un salarié d’un établissement scolaire dont la présence n’est assurée que par sa compétence et son dévouement à l’institution.
Zone culturelle germanique
L’enfant, au centre du système représente la plus forte richesse du pays et nécessite des investissements financiers et humains à la hauteur. L’enseignant est tiraillé par son rôle de représentant du gouvernement et de précepteur des familles. Il se doit de veiller à la bonne orientation de l’élève. Il doit chercher un établissement susceptible de l’employer. La loi fondamentale du 23 mai 1949 a fait des enseignants les garants de la démocratie retrouvée. Il n’ont pas droit à la grève. Les directives éducatives sont négociées dans chaque land.
Adaptation régionale aux besoins des familles et de la société locale.
Volonté d’orienter le mieux possible et le plus tôt possible le jeune vers la filière qui lui convient. Faire réussir le jeune dans la vie

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