Les taudis de new york vers 1900
1) Dans quelles circonstances Riis s'est-il mis à photographier certains quartiers de New-York ?
Il devient journaliste en débarquant a New-York à 21 ans du Danemark et il se familiarise avec les taudis d'un quartier de Manhattan (en étant chargé des affaires criminelles) où vivent la plupart des immigrés Européens. Il fut scandalisé par leurs conditions de vie et décide de prendre des photos pour sa campagne de sensibilisation car son livre sur ce thème n'intéressait les lecteurs. 2) Comptez le nombre de personnes présentes dans la pièce. Décrivez les objets qui s'y trouvent.
Il y a 6 personnes dans la pièce, ils sont tous entassés dans la pauvreté, la moisissure, c'est une pièce insalubre, les maladies doivent se développer très vite dans ces milieux. Il y a des petits matelas et des couvertures peu épaisses. Il dénonce la pauvreté des gens de ces milieux. 3) Quels éléments donnent l’impression que la photographie a été prise sur le vif ?
On voit bien que ces habitants viennent d’être réveiller comme le montre l'homme a droite de la photographie qui a « la tête dans le brouillard ». Certains dorment encore ou, encore allongés, ont les yeux fermés. Cela montre que la photo n'a pas été trafiquée et choque mieux ceux qui la regardent. 4) Lesquels démentent la spontanéité de la prise de vue ? Que regardent les personnes photographiées ?
Il y a l'homme a droite a peine réveillé et l'homme tout en haut a gauche qui semble dormir encore. Ces personnes regardent tous vers l'objectif d'un air très surpris. On voit bien qu'ils ne s'attendait pas a cette photo.
Activité :
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Ces photos prises sur la même période sont plus des paysages de villes (ici New-York), ils montrent ce que la plupart du monde voit, la beauté des villes. Jacob Riis met en valeur des personnages pauvres dans des paysages n’attirant pas l’œil alors que Steichen et Stieglitz ne montrent pas de personnages mais seulement des paysages