Les théories de la répartition permettent-elles d’expliquer l’évolution de la redistribution des revenus depuis la début des années 1970 en france ?

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Les théories de la répartition permettent-elles d’expliquer l’évolution de la redistribution des revenus depuis la début des années 1970 en France ?

Surnommées les "trente piteuses", ces dernières années ont été marquées par une crise profonde provoquant chômage, inflation et recherche exacerbée des gains de productivité. Ainsi la répartition, c’est-à-dire le partage des bénéfices entre les différents acteurs tels qu’entre les salariés et les capitalistes, a évalué par rapport à celle de la période de forte précédente où la prospérité la facilitait. Les analyses théoriques aussi bien micro que macro-économiques divergent quant au choix de distribution des revenus.
Ces théories ont-elles été appliqué ces trente dernières années pour répartir les revenus dégagés par les entreprises et l’Etat en France ?
D’un point de vu macro-économique, théories et empirisme se confrontent. Concernant les entreprises nous examinons les faits face aux théories.

La répartition, qui consiste à partager les excédents sous forme de revenus, concerne l’Etat. En effet, pendant les années 1970 l’Etat va jouer un rôle important et croissant pour contrebalancer les effets de la crise. L’Etat en tant qu’allocateur de ressources va donc devoir répartir au mieux les revenus. D’ores et déjà on peut noter que les théories classiques ou néoclassiques ne peuvent expliquer ce rôle important jouer par l’Etat. Effectivement, les théories classiques donnent un statut minimal au niveau macro-économique : il s’agit surtout de garantir la concurrence et la sécurité. Or distribuer des revenus n’est pas un acte économiquement souhaitable pour un Etat du point de vu classique car l’intervention de l’Etat est considérée comme néfaste pour le marché qui doit s’autoréguler. Ainsi en ce qui concerne les analyses libérales l’évolution de la distribution des revenus, qui est devenue quantitativement croissante pour l’Etat, n’est nullement justifiée, au contraire.
De plus, l’Etat qui se finance par des

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