De nos jours, la place que prend la communication est très importante. Avec l’apparition de tous les nouveaux réseaux sociaux et les technologies modernes, il est plus difficile d’avoir une communication équitable. Les principaux moyens d’obtenir de l’information se font maintenant par les technologies et malheureusement, plusieurs personnes ne peuvent y avoir accès. Dans ce sens, la communication est alors devenue un privilège aux personnes qui peuvent se permettre monétairement de l’obtenir. Le danger futur de ces changements? Que les compagnies de communications sont davantage préoccupées par le profit que génèrent leurs entreprises plutôt qu’à la façon que la communication est maintenant transmise et accessible au reste de la société. C’est à partir de cette évolution que nous devons tenter de rétablir le but premier de la communication. Mais comment était-ce auparavant? Comment le concept de liberté de presse que nous connaissons présentement a empiété sur la notion de liberté d’expression? Et comment a-t-elle évolué auprès du secteur privé, public et communautaire? Comment également le droit à la communication a commencé à faire son entrée? Quel est en fait ce concept, et comment peut-il agir dans la société actuelle?

Tout d’abord, on peut intimement lier le concept de la liberté d’expression par rapport au concept de liberté de presse depuis quelques siècles. La liberté d’expression est l’une des premières libertés politiques. C’est en fait le principe de s’exprimer librement et publiquement face à l’état et la liberté de s’exprimer sur la place publique. La liberté de presse qu’on appelle également liberté d’information quant à elle, est le droit pour un propriétaire de journal de dire ou de ne pas diffuser tout ce qu’il désire dans son journal. Sous toute réserve cependant de passer devant les tribunaux si toutefois il y avait diffamation. La diffamation est la restriction imposée à la notion de liberté d’expression pour toute parole publique. C’est