L'instauration de la dictature nazieAprès la Première Guerre mondiale, une République (la République de Weimar) est établie en Allemagne. Mais elle est contestée politiquement et elle doit faire face à la crise économique mondiale de 1929 née aux Etats-Unis. A la fin de la 1°guerre mondiale, il se sent humilié par le traité de Versailles (le Diktat) qu’il considère comme une humiliation. En 1923, à Munich, il tente de faire de prendre le pouvoir par la force, son coup d’état échoue lamentablement. …afficher plus de contenu…

Une économie sous le contrôle de l'ÉtatStaline veut transformer l'URSS en une grande puissance économique capable de rivaliser avec les États capitalistes. Pour y parvenir, il impose, en 1928, la planification de l'économie. En 1929, les terres sont collectivisées de force. La propriété privée est supprimée, les paysans sont regroupés dans les kolkhozes et dans les sovkhozes. Toutes les entreprises sont contrôlées par l'État. Pour rattraper l’industrie occidentale et se doter d’une force armée Staline donne la priorité à la production de charbon, d'électricité et à la sidérurgie. Cette politique place l'industrie soviétique au troisième rang mondial mais en sacrifiant une grande partie de son économie et de sa population. Une population terroriséeL’application du programme économique de Staline repose sur la terreur et la …afficher plus de contenu…

Le Front PopulaireLe Front populaire parvint au pouvoir en mai 1936 après une manifestation des extrémistes de droite. Les partis de gauche pensant que les extrémistes de droite préparent un coup d’Etat, s’allient afin d’obtenir la majorité à la Chambre [des députés] avec leur président, Léon Blum, un socialiste. Durant la période où le Front populaire est au pouvoir, les ouvriers se mettent en grève afin de réclamer les réformes. Beaucoup de changements se font, de nouvelles réformes sociales sont mises en place grâce aux accords de Matignon : la loi de la semaine des 40 h, les congés payés qui permettent aux ouvriers français de partir en vacances, ou encore des hausses de salaire, des conventions