lolilol
Après l’exaltation, le lyrisme, le pathétique : - « Oh Dora, comment dis-tu cela… » - « Ah, Yanek… » dira Dora
Un moment de rêverie : vocabulaire de l’imaginaire : « j’imagine cela », « si l’on pouvait oublier » « se laisser aller enfin » « petite heure d’égoïsme » « abandon »
C’est la rêverie éphémère de l’amour égoïste et partagé qui prend forme dans la pensée de Dora
+ retour des termes affectueux : « Yanek », « mon chéri »
2) l’amour du peuple/ l’amour égoïste : une scène de duo amoureux
>> Vocabulaire positif du côté de l’amour personnel en opposition avec des termes péjoratifs pour désigner l’amour du peuple.
« Amour du peuple »
Amour personnel
« vaste amour sans appui, d’un amour malheureux »
« nous vivons loin de lui, enfermés dans nos chambres »
« le peuple se tait »
« quel silence, quel silence » : répétition pour insistance, + ponctuation importante avec les points de suspension qui montrent peut-être le désespoir de Dora
« « joie pure et solitaire »
« monologue »
« flamme de la vengeance et de la révolte »
« je me demande si l’amour n’est pas autre chose »
« une réponse »
« le soleil brille »
« les bras s’ouvrent »
« petite heure d’égoïsme »
« tendresse »
« douceur »
>> tout le discours de Dora va en faveur de cette pause égoïste, et dépeint l’amour du peuple comme froid et à sens unique. Dora se laisse aller et on assiste réellement à :
3) un élan vers l’amour : Dora
On l’a vu : c’est Dora qui parle le plus dans cette scène, elle monopolise la parole tandis que K. se contente de phrases courtes, souvent en opposition (« Mais ») ce qui montre que K. tente de trouver des arguments en faveur de l’amour du peuple.
Mais il finit par ne plus répondre, et c’est Dora qui semble l’emporter : le paroxysme de la scène est atteint avec le mot « tendresse » que les deux personnages reprennent.
>> la fermeté et la violence vont laisser