Macroéconomie
Politiques de l’emploi : faire face à la progression du chômage
Améliorer le fonctionnement du marché du travail : réduire le chômage et augmenter le niveau d’emploi
Réduire les inégalités entre groupes sociaux en encourageant l’emploi des plus fragiles
Anticiper les besoins en matière d’emploi et de compétences ( formation des salariés)
Rôle social important en termes de lutte contre la pauvreté, d’insertion , dont l’accès à l’emploie constitue une dimension fondamentale.
Mesures passives / actives
Actives : remettre les chômeurs en emploi , augmenter le niveau d’emploi
Passives : indemnisation du chômage dispositifs de cessation anticipée d’activité : atténuer les conséquences du chômage
Dépenses pour l’emploi en 2010 ( en % du PIB)
France : dépenses actives : 1% Dépenses passives : 1,50%
Le « modèle nordique » : Part importante des dépenses pour l’emploi aux mesures actives , efforts envers les dispositifs de formation pour les chômeurs
La politique de l’emploi peut être considérée dans ces pays ( Danemark / Suède)comme un instrument de sécurisation des parcours, de telle sorte qu’elle constitue l’un des piliers de la « flexisecurite » danoise ( associant : flexibilité du contrat de travail et sécurité des parcours professionnels ) mis en avant depuis les années 2000.
France : les politiques de l’emploi sont en grande partie financées par des cotisations sociales ( en particulier l’indemnisation du chômage) et leur développement apparait relativement récent en comparaison au modèle nordique .
3 grands axes d’intervention pour limiter les conséquences de la crise sur le marché du travail : le soutien aux revenus des chômeurs , le maintien en emploi et le soutien à l’emploi ou à la formation des demandeurs d’emploi.
Entre 2004 et 2010 : en France Les dépenses pour l’emploi sont restées stables
La France a maintenu sa durée d’indemnisation mais a adopté en