Madame Bovary - La femme

1: Le 19ème siècle :

1. la révolution française et son principe d’égalité avait laissé espérer une amélioration et un changement de statut pour les femmes, mais rien n’a réellement changé.
A part le fait qu’elles ont pu écrire la Déclaration des droits de la Femme, et de la citoyenne. La femme au 19ème siècle est inférieure à l’homme elle reste un être mineur placé sous l’autorité de son mari ou bien de son père lorsqu’elle n’a pas encore épouse.
Elles sont interdites de se mêler à la politique et de s’informer de la société. En gros elles n’ont aucun droits ni civil ni politique, elles ne sont prioritaire de rien, car elles n’ont pas de salaire et elle n'a aucun droit sur l'administration des biens communs. Elles sont contraintes à rester à la maison, leur unique rôle est d’être une épouse et une mère. On peut dire que Ce siècle a été particulièrement difficile pour les femmes qui n’avaient le droit que de se taire.

2 : Les contraintes d’Emma :

Emma est une femme du 19ème siècle, donc elle doit supporter les contraintes de ce temps. La condition des femmes au 19ème siècle décrit avant est exactement ce à quoi Emma doit se heurter.

Emma va vite avoir le rôle de femme mariée, croyant éprouver de l’amour, elle épouse le premier prétendant qui se présente, Charles. Elle espère trouver une vie de conte de fées, mais entre l’idéal et la médiocrité quotidienne, elle se lasse vite de son mari et à son rôle dans son ménage. (p.82, paragraphe 2), (p.84, paragraphe 3), (p.91-92, dernière phrase)  changement dans la tête Emma. Vision de la belle-mère  p.94, paragraphe 1.

Résumé de sa vie  p.96 « sa vie était froide comme un grenier dont la lucarne est au nord, et l’ennui, araignée silencieuse, filait sa toile dans l’ombre à tous les coins de son cœur. »

La maternité est aussi une contrainte pour Emma, car contrairement aux autres femmes de son rang, Emma va mettre sa fille en nourrice (149) comme les aristocrates.
Ironie