Mais le roman doit-il mettre en scène des héros ou au contraire des antihéros ?
L'on préfère parler de monsieur tous le monde .
Mais le roman doit-il mettre en scène des héros ou au contraire des antihéros ?
Tel Don Quichotte de Miguel de Cervantes ou à l'opposé Superman de Jerry Siegel .
Est-il plus intéressant de présentait l'Homme moyen ou de présenter le plus incroyable, le plus charismatique des Hommes sur Terre .
Pour répondre à cette question nous allons observer les capacités à intéresser qu'à l'Homme parfait sur l'Homme banal .
Après la seconde guerre mondiale et ses horreurs, la reconstruction économique et matérielle des nations vont commencer, la peur d'une renaissance nazi et d'un nouveaux déferlement d'horreur vont demander aux auteurs de tous genres d'imagination pour créer des héros invincible et protecteur, tel Batman aux états unis . Les romanciers vont leurs hôter toute sorte de défaut récurant, Le héros va donc être généreux, modeste, fort, compréhensif …. De tel Homme vont attirer l'attention et encombrer une grande partie de la littérature ils seront bien entendu des plus intéressant et laissé encore aujourd'hui une place prédominante dans la culture, alors que le personnage moyen sera vite oublié . Nous somme au cœur de la guerre froide et une guerre idéologique forte fait rage, la crainte d'une troisième guerre mondial rend cette période difficile pour la diplomatie international . Une arme prédominante pour les deux camps n'est autre que la propagande . La création de héros pour combattre le communisme ou au contraire pour le défendre rend cette période riche en destin exceptionnel . Il motivera la population a combattre vivement l'idéologie adverse ce que n'aurait pas fait un antihéros . Les gouvernements iront jusqu'à en crée dans la réalité pour irriguer la soif d'avancé social dans la société , tel Youri