Marché aux puces
Plan
-l’origine de l’expression « marché aux puces »
-Histoire des marchés aux puces
-Marche aux puces de Saint-Ouen
-Marche aux puces de la Porte de Vanves
-Marche aux puces de Montreuil
-vocabulaire des brocantes
Le nom « marché aux puces »
1 Version Vers 1880, un chineur inconnu, regardant du haut des fortifs ces étalages de ferraille, de vieux meubles et de haillons(лохмотья), se serait exclamé : « Ma parole, mais c’est le marché aux puces ! ». L’expression amuse et devient rapidement populaire. Elle est offocialisée dès le début du siècle sur les légendes des cartes postales représentant des vues de la Porte de Clignacourt ou de l’avenue Michelet. Elle a fait aujourd’hui le tour du monde.
2Version L'expression ''Marché aux Puces'' date vraisemblablement de la fin du 19ème siècle. A l'origine c'est une expression péjorative. (cf le proverbe : ''Qui se couche avec les chiens se lève avec les puces'' autrement dit, les mauvaises fréquentations ont des suites fâcheuses).
Bref, l'idée de puces, de vermines, accompagne généralement celle de linge, de vieux vêtements, de hardes vendus par des chiffoniers que l'on soupçonne d'être porteurs de parasites en tous genres. Il semblerait donc qu'un Parisien ait un jour eu l'idée de lancer l'expression Marché aux Puces pour désigner cet endroit où l'on peut acheter des objets ayant déja servi.
L'expression s'est rapidement répandue pour devenir assez courante au début du 20ème siècle
Histoire des marchés aux puces
Dans les années 1880-1900, quand on sort de Paris par la Porte de Clignancourt, on longe tour à tour le glacis((склон, спуск) des fortifications, les cités de chiffonniers(старьевщик), puis les baraques foraines(ярморочный) et les guinguettes(кабачок) au milieu des champs et des jardins maraîchers.(огородный) C’est sur cette toile de fond très disparate(неподходящий), sur ce « passage » entre la capitale et la commune de Saint-Ouen, que les Puces vont élire(избирать)