Marx Capital livre I chap. XXII
La 4ème et la 5ème section du chap. XXII.
Dans la troisième section, Marx analyse la détermination de la grandeur de l’accumulation par le partage de la survaleur en capital et en revenu, sous la supposition du non changement de masse de survaleur. Mais si cette proportion du partage de la survaleur est donnée, la masse d’accumulation est décidée évitement par la grandeur absolue de la survaleur. Il est logique d’analyser, avec le mélange d’observations et de raisonnements dans le texte, les facteurs qui déterminent la masse de la survaleur.
IV. Facteurs déterminants du volume de l’accumulation
A. D’abord le taux de survaleur dépend du degré d’exploitation de la force de travail.
Il y a 2 méthodes pour augmenter ce degré d’exploitation :
-1. Le pillage direct du fonds de consommation nécessaire des ouvriers. Par l’impose de la baisse du salaire, ce que paie aux travailleurs par les capitalistes, soit la valeur d’échange de la force du travail, est moins que la valeur d’usage de cette force du travail. Mais même si les capitalistes ont tendance de réduire constamment cette dépense du salaire, il devait être ‘ à l’intérieur de certaines limites’ puisque le salaire doit assurer la vie des ouvriers et leur accroissement. Et cette assurance des subsistances hebdomadaires veut dire, selon les capitalistes anglais cités dans le texte, seulement des nourritures de base et rien de jouissance. D’ailleurs, ce qu’ils cherchent, c’est le salaire minimum absolu même par rapport aux pays voisins. Mais pourquoi les capitalistes peuvent déterminer les salaires comme ‘légalement’ ? Ca revient sur la domination de la classe bourgeoise sur la classe ouvrière. Avec la soumise de la force du travail au marché comme une marchandise, les ouvriers devaient vendre constamment sa force pour obtenir la moindre répartition de la richesse produite en vue de supporter leur vie.
-2. La deuxième méthode d’augmenter le