Michel de ghelderode: barabbas
Son nom est Adémar Adolphe Louis Martens. Ainsi que son nom est très commun, il signe toujours ses œuvres Michel de Ghelderode. En 1931 il abandonne son nom original et il devient officielement Michel de Ghelderode. Il est auteur dramatique belge, mais il a écrit ses pièces en français. Bien qu’il a vécu en Belgique, il a été enseigné en français á cause de la situation politique. On a déjà publié trois de ses contes quand il écrit sa première pièce à vingt ans (La Mort regarde à la fenêtre, 1918). Il est auteur de plus de soixante pièces de théâtre, une certaine de contes, des poèmes (sous le pseudonyme Philostène Costenoble) et d’une impressionante correspondance d’environ 20 000 lettres.
Il est profondément meurtri par l’attitude d’un père autoritaire et marqué par les récits terrifiants d’une mère superstitieuse et craintive. Il était un adolescent timide et solitaire, doutant de lui-même. Il avait une santé frgile et des fortes crises d’asthme pendant toute sa vie.
Il est le créateur d’un univers fantastique et inquiétant, souvent grotesque et cruel. Il a écrit, entre 1919 et 1930, une trentaine de pièces, dont beaucoup ont été jouées en Belgique à partir de 1925. En 1923, Ghelderode reçoit le prix de la Renaissance d'Occident pour sa pièce Oude Piet. Le revue lui donne la possibilité de y publier ses pièces pour marionnettes. Deux de ses pièces ont été représentées en France avant la Second Guerre Mondiale mais les animateurs français ne l’ont découvert qu’après la Libération. ( grâce à André Reybaz, metteur en scène parisien) On l’a beaucoup joué à Paris entre 1947 et 1953.
Comment sont ses pièces en général? Il s’agit d’une action brève qui se situe dans la nuit, dans un humeur ténébreux. Le langage est violent, lyrique en même temps trivial. Le sujet est souvent médiéval et mystique. La mort est toujours y présente. Il observe, et met l’accent sur des formes, des couleurs et des images.
Il a élaboré un