Micromégas chap 7
Dans un premier temps nous allons étudier l’avis de Voltaire sur la race humaine et dans un deuxième temps nous allons observer comment dénigre-t-il la guerre.
Dans un premier temps nous allons analyser le point de vue de Voltaire sur les hommes, tout d’abord à travers le caractère animal qu’il leur donne puis par l’absurdité a conssentir à la guerre et à suivre aveuglément les ordres des dirigeants qu’il leur attribus.
En premier lieu, nous allons obreserver par quel procédé Voltaire associe aux hommes un caractère animal. Dès la première phrase, il nous informe de son point de vue sur les hommes en désignant les combattants d’animaux, « qui tuent cent mille autres animaux couverts d’un turban, ou qui sont massacrés par eux », ici le nom animal mis au pluriel pour désigner les hommes et très explicite, a ce nom est rajouté le chiffre cent mille qui amplifie la quantité de personnes que le philosophe qualifie d’animal. Un peu plus loin dans le récit, le Sirien, un des hommes participants a la conversation réutilise le nom animal « de si chétifs animaux », a celui-ci est associé l’adjectif chétif qui révèle un caractère de faiblesse chez l’homme. Ce nom est réutilisé une troisième fois plus loin dans le récit, ce qui nous montre une insistance de l’auteur sur ce trait de caractère. Le verbe « égorger » est utilisé pour désigné des hommes morts pendant le combat, ce terme qualifiant communèment une façon de tuer un animal, on peut en déduire qu’il est utilisé ici pour amplifier le caractère animalier que donne l’auteur aux