Montesquieu, de l'esprit des lois
INTRO: Au XVIIIè siècle, les philosophes s'élevent contre la pratique de l'esclavage largement répandué. Montesquieu fidèle à l'esprit des lumières s'insurge contre differentes formes d'intolérances dans le texte précisement contre l'esclavage. Son habileté consiste à faire semblant de le defendre pour mieux le denoncer. Nous etudierons à quoi tient l'apparente défense de l'esclavage puis quel est son incohérence et enfin ce que dénonce précisement Montesquieu.
I - Une apparente défense de l'esclavage
(faire argument par argument) (1 argument = 1 paragraphe)
II - La critique de la multiplicité des rites (2eme partie exemple)
(faire argument par argument) (1 argument = 1 paragraphe)
III - Un réquisitoire contre les nations esclavagistes
A. La mauvaise foi
- La mauvaise foi est évidente et domine tout le texte, dans tous les arguments (surtout dans les premiers).
- Elle consiste sous couvert d'un raisonnement qui se tien, à faire jouer la corde nationale ou le soucis de l'économie.
B. Le faux appel au sentiment religieux
Montesquieu dénonce l'hypocrisie et le cynisme épouventable des arguments religieux car il ne supporte pas que la religion soit détournée au profis d'intérêts esclavagistes.
C. L'appel à la culture (faux arguments historiques)
- Utilisation de faux arguments d'autorité
- Arguments qui remontent loin dans le temps (cf. egyptiens) ou qui appartient a un peuple étranger (cf. asiatiques).
D. L'égoïsme humain
- Vue pessimiste mais realiste de l'être humain.
- Les esclavagistes ne ressentent rien (ni pitié, ni emotions) et justifient l'esclavagent par des arguments scandaleux
Conclusion: Egoïsme, hypocrisie, intérêt sont les veritables moteurs de l'esclavage, motifs que les nations défendent avec un total cynisme. Les philosophes du XVIII dont Montesquieu et Voltaire traquent cette pratique qu'ils jugent inacceptable. Cette dénonciation participe à la lutte pour les droits de